Le récif est un système complexe associant des espaces-ressources, des acteurs, les usages que ceux-ci en tirent et différentes échelles emboîtées correspondant à des types d’acteurs et d’usages spécifiques. En raison de cette complexité, la méthode pour estimer de manière pertinente la valeur d’un milieu naturel littoral comme le récif reste à construire. La tâche est ardue et requiert une démarche pluridisciplinaire. C’est dans ce cadre que s’inscrivent les réflexions exposées dans le présent rapport.
]]>http://ifrecor-doc.fr/items/show/1419
En matière de politique publique, les résidents martiniquais et les touristes ont souhaité que soient mises en place des mesures de gestion qui consistent à diminuer de 50% les activités terrestres et marines afin de restaurer les RCEA. Ils sont de plus disposés à contribuer financièrement à une telle opération.
Les velléités récentes de prendre en compte les RCEA dans les schémas de développement économique et social de la Martinique laissent entrevoir un avenir meilleur, à condition toutefois de prendre en compte l’ensemble des fonctionnalités des RCEA (et non pas seulement la biodiversité afférente), leur capacité de transformation ainsi que la valeur de mémoire et de futur qu’ils recèlent.]]>2016-12-29T13:15:51+01:00
Description
La valeur économique et sociale des récifs coralliens et écosystèmes associés (RCEA) de la Martinique est évaluée annuellement à 245 M €. La valeur d’usage direct, estimée à quelque 142 M €, compose l’essentiel de la Valeur Économique Totale (VET) .
En matière de politique publique, les résidents martiniquais et les touristes ont souhaité que soient mises en place des mesures de gestion qui consistent à diminuer de 50% les activités terrestres et marines afin de restaurer les RCEA. Ils sont de plus disposés à contribuer financièrement à une telle opération.
Les velléités récentes de prendre en compte les RCEA dans les schémas de développement économique et social de la Martinique laissent entrevoir un avenir meilleur, à condition toutefois de prendre en compte l’ensemble des fonctionnalités des RCEA (et non pas seulement la biodiversité afférente), leur capacité de transformation ainsi que la valeur de mémoire et de futur qu’ils recèlent.
La valeur économique de la Réserve Naturelle de Saint Martin (RNSM) a été conduite afin d'identifier ses impacts sur différents secteurs d'activités économiques de l'île.
]]>http://ifrecor-doc.fr/items/show/1421
La plupart des institutions en charge de la gestion ou conservation des Récifs Coralliens et Ecosystèmes Associés (mangroves et herbiers) sont de plus en plus sollicitées pour démontrer l'efficacité et les impacts de leurs initiatives ]]>2014-08-06T11:37:20+02:00
Description
La plupart des institutions en charge de la gestion ou conservation des Récifs Coralliens et Ecosystèmes Associés (mangroves et herbiers) sont de plus en plus sollicitées pour démontrer l'efficacité et les impacts de leurs initiatives ]]>
http://ifrecor-doc.fr/items/show/1420
La Nouvelle‐Calédonie représente un contexte socio‐écologique et économique très spécifique. Elle dispose de complexes récifaux importants (plus de 4.500km2 de récifs et 20.000km2 environ de zones lagonaires) avec une densité de population réduite (245.000 habitants). Les relations homme‐récif et les usages qui en sont faits sont contrastés entre les différentes cultures présentes. De même, une économie basée sur les services et le nickel générant un fort pouvoir d’achat à une partie de la population coexiste avec une économie non‐marchande basée sur l’agriculture et la pêche vivrière.
L’étude couvre les principaux services écosystemiques: (i) la pêche (commerciale, de loisir, vivrière, hauturière et aquaculture), (ii) le tourisme (sous‐marin, nautique et plaisance), (iii) la protection contre la houle, (iv) la bio‐prospection et, (v) la recherche & éducation.
L’étude s’est centrée sur l’estimation des flux financiers réels ou potentiels générés par les services écosystémiques dans l’économie de la Nouvelle‐Calédonie.]]>2015-10-26T14:29:27+01:00
Description
La valeur financière totale des services générés par les écosystèmes coralliens et écosystèmes associés (mangroves, herbiers et fonds meubles) de la Nouvelle‐Calédonie est présentée.
La Nouvelle‐Calédonie représente un contexte socio‐écologique et économique très spécifique. Elle dispose de complexes récifaux importants (plus de 4.500km2 de récifs et 20.000km2 environ de zones lagonaires) avec une densité de population réduite (245.000 habitants). Les relations homme‐récif et les usages qui en sont faits sont contrastés entre les différentes cultures présentes. De même, une économie basée sur les services et le nickel générant un fort pouvoir d’achat à une partie de la population coexiste avec une économie non‐marchande basée sur l’agriculture et la pêche vivrière.
L’étude couvre les principaux services écosystemiques: (i) la pêche (commerciale, de loisir, vivrière, hauturière et aquaculture), (ii) le tourisme (sous‐marin, nautique et plaisance), (iii) la protection contre la houle, (iv) la bio‐prospection et, (v) la recherche & éducation.
L’étude s’est centrée sur l’estimation des flux financiers réels ou potentiels générés par les services écosystémiques dans l’économie de la Nouvelle‐Calédonie.